Nul adonis
Nul artifice
Ni lois ni Dieu
Elle sait y faire
Un brin nihiliste
Mélancolique
Parfois l’envie
Se foutre en l’air
Assise sur son lit
Le bleu dans le gris
Elle est différente
C’est sa manière
Elle n’a pas choisi
Et quand on lui dit
Que ce n’est là
La chose à faire
Soins intensifs
A deux c’est moins triste
Dans son cerveau
Deux hémisphères
Le gai et le triste
Un jeu d’artifices
Pouvoir aimer
Comment le faire
La peur de ne pas
Savoir où aller
Qui nous attache à cette terre
Le cœur à l’endroit
Mais l’heure a sonné
Elle a mit le sien à l’envers
Elle a dit qu’elle aime
Elle a dit aussi le monde est tel
Que l’on fuit le bruit et les sarcasmes
Elle aimait sa vie et c’est son charme
Et si dans sa vie
Elle aura écrit
Tant de chapitres
Inutiles
Pour le plus petit
Mot qui a guéri
Sauver une âme
C’est si fragile
Assise sur son lit
Elle regarde « l’incompris »
Et elle n’en a plus rien à faire
Et quoiqu’elle en dise
Elle aime une fille
Elle se sent au bord du rebord.
Elle a dit qu’elle aime
Elle a dit aussi le monde est tel
Que l’on fuit le bruit et les sarcasmes
Elle aimait sa vie et c’est son charme
L’onde est si calme
Un présage d’automne
Là ! La peur s’engage
Sur mon visage
Le doute frissonne
Suis-je faite pour les rêves ?
D’une voix faible
Dis moi
De ne plus être….
À l’ombre
Risquer de n’être personne
L’on se cache et l’on se cogne…
À l’ombre
On se coupe de soit-même
On s’arrache ainsi au ciel
À l’ombre
Et sentir que l’on se lâche
Que rien ni personne ne sache
Quand la nuit tombe
Las de cette vie trop brève
On devient l’ombre de soi-même !
L’âme
Est la lumière
Mais l’âme erre
Sur tous les chemins
Mon coeur se ferme
Le diable harcele mes lendemains
Mais là sous les érables
Le froid se cabre
mais toi dis moi …
Chorus
Aucune déraison
Je suis
Dans la peau d’une autre
Si
Je suis en prison
Et j’y suis
Pourquoi pas une autre
Et si
Je perds la raison
Il y a de ça
Moi je paroxysme
Délivrez-moi
Tap ta da
Je suis pas là
Suis pas de ce monde
Là
C’est un autre moi
C’est monkey me
C’est monkey me
L’animal
Là
C’est bien ici-bas
Je manque ici
Je manque ici
De facéties
Là
C’est un autre moi
C’est monkey me
C’est monkey me
L’animal
Là
Je connais ces pas
Un monkey moi
Je suis monkey… me
Aucune déraison
Je suis
Dans la peau d’une autre
Si
Je suis sans guidon
Et j’y suis
Et ben… je me vautre
Et si
Je perds l’audition
Pense « au-delà »
C’est une sagesse
Adoptez-moi
Tap ta da
Je reste coi
Je singe les ombres
Chorus
Il nous faudra du courage
mais
tu ne le dis pas!
inévitable naufrage
mais
tu ne le dis pas!
et la
voir le monde se défaire
mais
tune le dis pas!
quoi
qu’il n’y a plus rien à faire
que tout vole en éclats
Mais ou va le monde
mais ou est ma tombe
mais que deviens le monde
un tout qui s’effondre
L’aube a comme un gout de brume
mais
tu ne le dis pas !
l’espérance
se dénude
mais
tu ne le dis pas !
et là
que n’ai-je un pinceau d’écume
pour peindre un au-delà
moi
je ne sais bien pourquoi la lune va
plus le même éclat
Chorus
La la la la
la la la la
Do you love me
Love me do
Me do love you
Me too !
You me love do
Love me do you
Dis, love me ?
Doux est le cou
Le derrière
Du genou, co…
…missure
De la bouche, l’en…
…tre cuisse
A fait mouche
La la la la la
If you say so
La la la la la
Won’t let you go !
La la la la la
How should I know ?
Que tu m’aimes moi
Méli mélo
La la la la la
If you say so
La la la la la
Won’t let me go !
La la la la la
Mon mélimélo
Méli mélo
La la la la la
Do you love me
Love me do
Me do love you
Me too !
You me love do
Love me do you
Dis… love me ?
Doux est le fou
Des fossettes
A genoux, ga…
…lipettes
De la chance, l’en…
…tre nous
Est immense
Happy birthday to you
Happy birthday to you too
Happy birthday to you
To you to you
Toi à demi mot
Mes paroles sans échos
Pourquoi m’y faire?
Moi noyée dans l’eau
Quand tu n’oses pas les mots
Vois, la rosée gèle.
Quand ?
Les mots s’arrêtent sur tes lèvres
Dis-moi, quand ?
Sauras-tu dire que nos cœurs ont vu trop grand
Les étoiles tombent une à une, les bougies sont de fortunes.
Et ces vagues de nausée
Tu vois, j’ai l’âme enserrée
Comment t’y prends-tu ?
Au moins le sais-tu ?
Pour mener ta vie
Dans le vent j’entends
Tes renoncements
La mélodie dure se répand
Quand ?
Les mots s’arrêtent sur tes lèvres
Dis-moi, quand ?
Sauras-tu dire que nos cœurs ont vu trop grand
Les étoiles tombent une à une, les bougies sont de fortunes.
Et ces vagues de nausée
Tu vois, j’ai l’âme enserrée
Quand ?
Les mots s’arrêtent sur tes lèvres
Dis-moi, quand ?
Sauras-tu dire que nos cœurs ont vu trop grand
Les étoiles tombent une à une, les bougies sont de fortunes.
Et ces vagues de nausée
Tu vois, j’ai l’âme enserrée
Quand ?
Les mots s’arrêtent sur tes lèvres
Dis-moi, quand ?
Pourra-tu dire que l’amour est suffisant
Les étoiles tombent une à une, mes émois sont de saturne
Et ces vagues de nausée
Tu vois, j’ai l’âme enserrée
Danser sans cesse
Au bord du gouffre
Pourtant l’ivresse
Comme un „entre-nous“
Vois là pénombre
Qui éclaire mon visage
On s’est dit „ensemble
Si c’est là ton voyage“
Un sentiment de n’être
Rien du tout
A vous peut-être
Je dirai tout
Moi j’ai
Moi j’ai essayé de vivre
Donné
Donné un sens à ma vie ici
Moi j’ai
Tant voulu l’autre
Ave
Milliers d’âmes anonymes
Ave
Au clair de lune
Mon ami „qui“?
Suis-je ta plume
Mais quand la nuit…
Où étais-tu alors
Puisque je t’aime
Où étais-tu encore
L’imaginaire
Es-tu un rêve
Es-tu un frère
Et je manque d’air
Quand tu m’oublies
Chorus
C’est bien ici-bas
Que j’ai voulu
La guerre
Je rentre chez moi
Tu n’es pas là
Que suis-je sans toi
C’est bien ici-bas
Que j’ai voulu
La liesse
Drôle de vie
Qui fait pauvre de moi
Un pantin de bois
C’est comme un long chapelet
Qui porte ton nom
Que j’égrène en vain
Je compte mes prières
Balader mon spleen
Et m’étourdir est bon
Je pense à la fuite
De tous mes rêves
Toi Marie qui voit
Du haut de ton donjon
Colonie de pantins
De pauvres hères
L’âme éperdue
Plongée dans la confusion
Je t’en prie, sois là
Exauce mes prières
C’est bien ici-bas
Que j’ai voulu
La guerre
Je rentre chez moi
Tu n’es pas là
Que suis-je sans toi
C’est bien ici-bas
Que j’ai voulu
La liesse
Drôle de vie
Qui fait pauvre de moi
Un pantin de bois
C’est comme un doux vent qui
Gémit et je plonge
Un à un mes yeux dans l’onde
Et la lumière
Partager mon spleen
Et m’étourdir est bon
Je pense à nos âmes
Qui s’élèvent
Toi Marie qui voit
Du haut de ton donjon
Combien je vacille
Combien je peine
Je fais vœux de vie
Vœux de contemplation
Exauce-moi oh j’existe
Pour qu’on m’aime.
Chorus
A-t-on jamais les mots
pour se convaincre d’oublier ?
marcher vers l’échafaud
ou faut il se réfugier?
a-t-on jamais vu mer
se cabrer se déchirer
moi
j’aurais voulu lui plaire
pour qu’il reste à mes cotés
Allelluia
aller ou tu vois…
les montagnes
Allelluia
donner tout de moi
pour t’y voir
D’affronter tant de nuits
les désastres du passé
j’ai oublié de vivre
d’accrocher l’astre à mon pied
a trop vouloir ton coeur des
rien pour me raccommoder
c’est toi qui m’as donné vie ce soir je pose mes clées
Chorus
Eh, oh, ce matin
Y’a Chloé qui s’est noyée
A l’envers
Cette terre
Il pleut sur Vienne
La vie est belle
A force de mourir
Je n’ai pas su te dire
Que j’ai envie de vivre
Donner l’envie de vivre
A force de courir
De perdre l’équilibre
Moi j’ai envie de vivre
Donner l’envie de vivre
La force des rapides
Des vents qui se déchirent
Me donnent l’envie de vivre
Donner l’envie de vivre
A force d’étincelles
Que la nature est belle
Moi j’ai envie de vivre
Et de mourir sans chaînes
Impalpable
Cette flamme
La vie est belle
Quand on aime
Silencieux
Merveilleux
Dans ce soir mouvant
J’écoute le vent
Héritière
Passagère
De mes jours maudits
Ca je le suis
Mon amour
Je te dis tout
Tu peuples ma vie
A l’infini
Abuse le sort
Frappe à ma porte
Pose une main
Sur mon front
Sur mes seins
Si d’aventure
Je quittais terre
Tu es mon sang
Mon double aimant
Mon ADN
Et sur ton pull
J’y broderais M
Pour que nos sangs
Se mêlent au vent
Mon ADN
Dénudée
Enserrée
Dans ce jeu sanglant
Je dis tout au vent
Aussi calme
Qu’un nuage
Je suis qui pardonne au temps
Aux absents
Mon amour
Je te dis tout
Tu peuples ma vie
A l’infini
Abuse le sort
Frappe à ma porte
Pose une main
Sur mon front
Sur mes seins
Chorus